On a observé que, comparées à des animaux sauvages, des souris dont le récepteur H3 (H3RKO), exprimé en temps normal uniquement dans les cellules du système nerveux, présentaient des pathologies plus sévères et une inflammation plus importante.
On a pu montrer que cet effet est associé à un dérèglement de la perméabilité de barrière hémato-encéphalique, et une expression plus importante de MIP-2, IP-10 et CXCR3 par les lymphocytes T périphériques.
Les données suggèrent qu'un ciblage pharmaceutique du récepteur H3R pourrait pour empêcher le développement de nouvelles lésions liées à la SEP, et donc limiter de façon significative la progression de la maladie.
Teuscher C, Subramanian M, Noubade R, Gao JF, Offner H, Zachary JF, Blankenhorn EP.
Departments of Medicine and Pathology, University of Vermont, Burlington, VT 05405
Source Pubmed (13/06/07)
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Traduit de l'anglais depuis www.msrc.co.uk, Multiple Sclerosis Resource Center